Pour à peine 40 euros, vous pouvez vous procurer sur le site dédié à Johnny Hallyday, ce superbe pendentif croix. Il s’agirait selon la réclame du «bijou fétiche de notre idole», l’idole des jeunes en personne.
Le directeur artistique du disque Les Prêtres dont la haute spiritualité n'est pas sans évoquer Dufay, l’évêque du show-bizz, Mgr Di Falco, a été conquis par l’objet que le monstre sacré lui a présenté après un de ses concerts au Stade de France. Il y a vu sans doute l’expression d’un christianisme beaucoup plus fun et fidèle à l’esprit du Concile Vatican II, loin des pompes et de cette sacralité ennuyeuse dans laquelle certains catholiques nostalgiques, maurassiens et vichystes (nazis ?) cherchent à enfermer leur religion. Jésus est un hippie chantait Johnny dans les années 70. Aujourd’hui il est rock'n roll. Dans un lointain passé il était le grand prêtre de son sacrifice, immolant sur la croix son propre corps mortel comme victime propitiatoire. Théologie scripturaire qui n’est pas de nature à «allumer le feu» dans un stade de foot mais qui a nourri la spiritualité des chrétiens pendant des siècles.
Le directeur artistique du disque Les Prêtres dont la haute spiritualité n'est pas sans évoquer Dufay, l’évêque du show-bizz, Mgr Di Falco, a été conquis par l’objet que le monstre sacré lui a présenté après un de ses concerts au Stade de France. Il y a vu sans doute l’expression d’un christianisme beaucoup plus fun et fidèle à l’esprit du Concile Vatican II, loin des pompes et de cette sacralité ennuyeuse dans laquelle certains catholiques nostalgiques, maurassiens et vichystes (nazis ?) cherchent à enfermer leur religion. Jésus est un hippie chantait Johnny dans les années 70. Aujourd’hui il est rock'n roll. Dans un lointain passé il était le grand prêtre de son sacrifice, immolant sur la croix son propre corps mortel comme victime propitiatoire. Théologie scripturaire qui n’est pas de nature à «allumer le feu» dans un stade de foot mais qui a nourri la spiritualité des chrétiens pendant des siècles.