Dans un dossier du dernier VSD, Sexe, les femmes prennent le pouvoir (sic), une jeune fille exprime sa philosophie de la vie, la philosophie du « kiff ». Ses adeptes sont les fameuses kiffeuses, ces éveilleuses de mauvais désirs, moins libérées qu’il n’y paraît. En effet une certaine forme de calcul est sous-jacente à cet « art de vivre » que j’ai magnifiquement défini dans mon plaidoyer pour une drague catholique : « s’éclater pendant sa jeunesse; se caser à l’âge de raison ».
Le constat de VSD est donc erroné. On ne peut être à la fois libérée et « calculable » pour reprendre l’expression de Nietzsche : « Trente ans après la révolution sexuelle, les femmes sont plus que libérées : débridées (ben voyons). Doucement mais sûrement, elles se glissent dans les schémas masculins. Pour le bonheur des hommes ».
Souvent le kiff rime avec médicocrité. Voici le témoignage de Catherine : « Pour Catherine, 19 ans, volupté rime avec variété (facilité plutôt). En quatre ans d’expérience cette jeune étudiante affiche déjà « un très beau palmarès » : « sans doute entre vingt-cinq et trente mecs « estime-t-elle d’un ton limite blasé. Catherine a décidé de s’éclater avant de « se caser pour de bon et de faire des mômes ». « je n’ai pas envie de me réveiller un jour et de regretter mes années de jeunesse. Alors allons-y gaiement, faisons-nous du bien. Tous les mecs ne sont pas forcément à la hauteur, mais globalement on n’a pas à se plaindre. Le gars qui ne pense qu’à lui et qui s’endort avant que tu n’aies pris ton pied, c’est fini. En tout cas moi je n’en ai jamais rencontré… » ( Source : VSD )
Le constat de VSD est donc erroné. On ne peut être à la fois libérée et « calculable » pour reprendre l’expression de Nietzsche : « Trente ans après la révolution sexuelle, les femmes sont plus que libérées : débridées (ben voyons). Doucement mais sûrement, elles se glissent dans les schémas masculins. Pour le bonheur des hommes ».
Souvent le kiff rime avec médicocrité. Voici le témoignage de Catherine : « Pour Catherine, 19 ans, volupté rime avec variété (facilité plutôt). En quatre ans d’expérience cette jeune étudiante affiche déjà « un très beau palmarès » : « sans doute entre vingt-cinq et trente mecs « estime-t-elle d’un ton limite blasé. Catherine a décidé de s’éclater avant de « se caser pour de bon et de faire des mômes ». « je n’ai pas envie de me réveiller un jour et de regretter mes années de jeunesse. Alors allons-y gaiement, faisons-nous du bien. Tous les mecs ne sont pas forcément à la hauteur, mais globalement on n’a pas à se plaindre. Le gars qui ne pense qu’à lui et qui s’endort avant que tu n’aies pris ton pied, c’est fini. En tout cas moi je n’en ai jamais rencontré… » ( Source : VSD )