A notre époque, il faudrait beaucoup de Saint François d'Assise a souhaité Jean Paul II lors de la rencontre avec les Frères Mineurs Bernardins, venus à Rome pour le 550e anniversaire de leur présence en Pologne.
L'homme d'aujourd'hui, a déclaré le Pape, "a besoin de la joie qui jaillit de la pauvreté d'esprit, c'est-à-dire d'une liberté intérieure; il veut apprendre encore une fois à aimer tout ce que Dieu a créé; il a besoin, enfin, de voir régner la paix et le bien au sein des familles, des sociétés, des nations. C'est de cela qu'ont besoin la Pologne, l'Ukraine et le monde entier".
Dans son discours, Jean Paul II a également introduit un souvenir personnel, en soulignant que le 550e anniversaire est lié à la fondation du couvent de Cracovie. "Ce couvent et cette Basilique me tiennent à cœur. Quand j'étais jeune, j'allais souvent là-bas, et plus tard aussi, comme prêtre, et enfin comme évêque de Cracovie. Les rencontres avec votre communauté ont été elles aussi bien nombreuses. Je garde en particulier le souvenir de la rencontre et du symposium scientifique tenus dans le cadre du Jubilé de Saint François, en avril 1976."
... " Je me souviens avoir dit alors, en inaugurant le Congrès : Nous devons prier beaucoup pour obtenir un Saint François de notre époque. Non pas un seul, mais beaucoup. Nous vivons à une époque durant laquelle le Concile Vatican II nous a pleinement révélé le dimension du peuple de Dieu. Peut-être est-il besoin, en ces temps démocratiques qui sont les nôtres, que Saint François devienne le profil de nous tous: de toute l'Eglise en Pologne".
... " Il me semble que ces mots n'ont rien perdu de leur actualité. On a même l'impression que l'homme et le monde, au début du troisième millénaire, attendent peut-être plus que jamais d'être pénétrés de l'esprit de Saint François". (source : vid)
L'homme d'aujourd'hui, a déclaré le Pape, "a besoin de la joie qui jaillit de la pauvreté d'esprit, c'est-à-dire d'une liberté intérieure; il veut apprendre encore une fois à aimer tout ce que Dieu a créé; il a besoin, enfin, de voir régner la paix et le bien au sein des familles, des sociétés, des nations. C'est de cela qu'ont besoin la Pologne, l'Ukraine et le monde entier".
Dans son discours, Jean Paul II a également introduit un souvenir personnel, en soulignant que le 550e anniversaire est lié à la fondation du couvent de Cracovie. "Ce couvent et cette Basilique me tiennent à cœur. Quand j'étais jeune, j'allais souvent là-bas, et plus tard aussi, comme prêtre, et enfin comme évêque de Cracovie. Les rencontres avec votre communauté ont été elles aussi bien nombreuses. Je garde en particulier le souvenir de la rencontre et du symposium scientifique tenus dans le cadre du Jubilé de Saint François, en avril 1976."
... " Je me souviens avoir dit alors, en inaugurant le Congrès : Nous devons prier beaucoup pour obtenir un Saint François de notre époque. Non pas un seul, mais beaucoup. Nous vivons à une époque durant laquelle le Concile Vatican II nous a pleinement révélé le dimension du peuple de Dieu. Peut-être est-il besoin, en ces temps démocratiques qui sont les nôtres, que Saint François devienne le profil de nous tous: de toute l'Eglise en Pologne".
... " Il me semble que ces mots n'ont rien perdu de leur actualité. On a même l'impression que l'homme et le monde, au début du troisième millénaire, attendent peut-être plus que jamais d'être pénétrés de l'esprit de Saint François". (source : vid)