Ce texte constitue une étude d’une vingtaine de pages sur la Résurrection de Jésus-Christ, publiée en 1952 dans une revue belge, La Revue nouvelle.
Le lien (PDF) : La résurrection de Jésus-Christ L’écrivain, fort de sa connaissance approfondie de la Bible, du monde antique, de la vie et de la pensée juives, répond point par point aux hypothèses, parfois troublantes, souvent absurdes, énoncées par les principaux représentants de l’exégèse moderne et de la critique rationaliste. De nombreux scénarios ont été envisagés pour ruiner ce qui constitue le fondement de la foi chrétienne. Si le Christ n’est pas ressuscité disait saint Paul, notre foi est vaine et il n’y a pas lieu d’espérer la résurrection des morts. Que seule une petite minorité de français ait gardé la foi en la résurrection de la chair (un sur dix) montre bien l’étendue des ravages produits par cette prétendue «science biblique» dont les procédés sont aussi peu scientifiques que possible. Dale C. Allison a identifié dans un article paru en 2005 huit catégories d'interprétations (voir cette page wikipedia : la partie «interpréter la résurrection»). Ce sont celles que Frank-Duquesne avait déjà examinées et réfutées dans son étude. Cinquante ans après la publication de son texte, les arguments restent inchangés et, malgré l’absence de preuves, la manie interprétative des exégètes et des sceptiques modernes continue de s’exercer inlassablement contre ce dogme central de la foi chrétienne. D’où la nécessité de recourir à une apologétique adaptée, appuyée sur l’Ecriture et l’histoire, mais aussi de savoir répondre au doute par des arguments solides, faisant d’abord appel au bon sens du lecteur moderne, peu sensible aux raisonnements dogmatiques et doctrinaux, car, comme le rappelle l’écrivain, ceux que nous devons combattre sont les ennemis de la foi, «non de chair-et-sang, mais principes et puissances, entités spirituelles de perversion».
Rédigé par Sombreval le Vendredi 13 Mai 2011
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