En 1674, John Milton, devenu aveugle, commence à dicter à ses filles son splendide poème, Le Paradis perdu, qui sera plus tard traduit par Chateaubriand, encensé par Baudelaire et analysé par Claudel (en attendant mes propres analyses et commentaires...)
A découvrir : ce site consacré à l'iconographie du Paradise lost.
Henry Fuseli : Milton Dictating to his Daughter, 1794, Chicago, Art Institute;
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Henry Fuseli : Milton Dictating to his Daughter, 1794, Chicago, Art Institute;